
" Le matin, un buffet copieux vous attend en guise de petit déjeuner, après quoi, vous pouvez visiter la ville et profiter de sa culture très riche. "

L'Hôtel Cordoeanier est situé dans le centre-ville, dans une ruelle calme, tout près de la Grand-Place, au cœur de la ville médiévale de Bruges, parfois également appelée la Venise du Nord. Une ambiance familiale et un accueil personnel et chaleureux attendent les hôtes qui sont les bienvenus dans cette oasis de repos.
L'hôtel compte 22 chambres, dont 2 chambres de luxe situées au rez-de-chaussée. Les chambres confortables et bien équipées peuvent recevoir jusqu'à 5 personnes.
Le matin, un buffet copieux chaud et froid vous est proposé, tandis que vous pouvez tranquillement lire les dernières nouvelles dans une sélection de journaux nationaux et internationaux.
Profitez d'une journée d'été sur notre terrasse intérieure ensoleillée ou respirez l'ambiance authentique de notre café Rose Red. C'est avec plaisir que nous vous ferons goûter une de nos 'vraies' bières trappistes, la spécialité de la maison.
Bruges possède une culture très riche, de magnifiques musées et d’exquises ruelles où vous pouvez flâner. C'est également une ville par excellence pour les cyclistes. L'Hôtel Cordoeanier propose d’ailleurs un parking à vélos.
En bref, tout un tas d’ingrédients et d’atouts pour vous permettre de profiter au maximum de votre séjour chez nous.
Nous vous souhaitons de tout cœur la bienvenue.
Un peu d'histoire :
L’immeuble date d’environ 1725. Il s'agissait à l'origine de trois bâtiments qui ont ensuite été regroupés. Au sujet de l'immeuble situé rue Cordoeanier, Luc Devlieger a écrit ce qui suit dans son livre "les maisons à Bruges" (de la rue Philipstock à la Place Saint-Jean) :
- Le nom de la rue fait sans doute référence aux tanneurs provenant de Cordoue qui s’étaient installés ici (mentionnés pour la première fois vers 1305).
- Nο 16-18 : façade à corniche droite enduite, deux étages, six travées et une travée d’entrée (début du 19e siècle).
En 1835, des changements qui n'ont pas été plus amplement décrits ont été apportés au n° 18.
Un certain François Goudeseune (1749 - 1815), pilote de montgolfière et commerçant, et son épouse, Jean-Françoise Lambert, habitaient ici. Goudeseune utilisait l'immeuble comme lieu d’entreposage. Il y avait également une remise. Goudeseune fut le premier Brugeois à expérimenter les montgolfières en Flandre. De juin 1785 à mai 1786, il réalisait régulièrement des expériences dans la guilde de Saint-Sébastien située au n° 174 de la rue Carmer. En 1786, un décret fut publié interdisant de continuer les expérimentations avec les montgolfières, car cela devenait trop dangereux pour les villages et les villes. On utilisait en effet des chauffages à l'alcool à brûler suspendus pour faire décoller les ballons.
Il semble que les activités commerciales de Goudeseune n'étaient pas tellement florissantes, car de nombreux créanciers saisirent à maintes reprises sa propriété. C'était également un révolutionnaire brugeois qui fut officier (1794-1814) dans l'armée patriotique. Il aida les Français en intervenant en tant qu'espion. Goudeseune était détesté par le peuple, car en 1794, il avait déporté un certain nombre de prêtres et de moines vers la France. On le qualifiait de " brute sans dieu ni foi ". Il mourut en 1815.
Citation trouvée sur une pancarte à la Cour des Princes de Bruges:
"Le païen Goudeseune et ses consorts seront d’ici peu pendus à l'extérieur des portes."
L'hôtel compte 22 chambres, dont 2 chambres de luxe situées au rez-de-chaussée. Les chambres confortables et bien équipées peuvent recevoir jusqu'à 5 personnes.
Le matin, un buffet copieux chaud et froid vous est proposé, tandis que vous pouvez tranquillement lire les dernières nouvelles dans une sélection de journaux nationaux et internationaux.
Profitez d'une journée d'été sur notre terrasse intérieure ensoleillée ou respirez l'ambiance authentique de notre café Rose Red. C'est avec plaisir que nous vous ferons goûter une de nos 'vraies' bières trappistes, la spécialité de la maison.
Bruges possède une culture très riche, de magnifiques musées et d’exquises ruelles où vous pouvez flâner. C'est également une ville par excellence pour les cyclistes. L'Hôtel Cordoeanier propose d’ailleurs un parking à vélos.
En bref, tout un tas d’ingrédients et d’atouts pour vous permettre de profiter au maximum de votre séjour chez nous.
Nous vous souhaitons de tout cœur la bienvenue.
Un peu d'histoire :
L’immeuble date d’environ 1725. Il s'agissait à l'origine de trois bâtiments qui ont ensuite été regroupés. Au sujet de l'immeuble situé rue Cordoeanier, Luc Devlieger a écrit ce qui suit dans son livre "les maisons à Bruges" (de la rue Philipstock à la Place Saint-Jean) :
- Le nom de la rue fait sans doute référence aux tanneurs provenant de Cordoue qui s’étaient installés ici (mentionnés pour la première fois vers 1305).
- Nο 16-18 : façade à corniche droite enduite, deux étages, six travées et une travée d’entrée (début du 19e siècle).
En 1835, des changements qui n'ont pas été plus amplement décrits ont été apportés au n° 18.
Un certain François Goudeseune (1749 - 1815), pilote de montgolfière et commerçant, et son épouse, Jean-Françoise Lambert, habitaient ici. Goudeseune utilisait l'immeuble comme lieu d’entreposage. Il y avait également une remise. Goudeseune fut le premier Brugeois à expérimenter les montgolfières en Flandre. De juin 1785 à mai 1786, il réalisait régulièrement des expériences dans la guilde de Saint-Sébastien située au n° 174 de la rue Carmer. En 1786, un décret fut publié interdisant de continuer les expérimentations avec les montgolfières, car cela devenait trop dangereux pour les villages et les villes. On utilisait en effet des chauffages à l'alcool à brûler suspendus pour faire décoller les ballons.
Il semble que les activités commerciales de Goudeseune n'étaient pas tellement florissantes, car de nombreux créanciers saisirent à maintes reprises sa propriété. C'était également un révolutionnaire brugeois qui fut officier (1794-1814) dans l'armée patriotique. Il aida les Français en intervenant en tant qu'espion. Goudeseune était détesté par le peuple, car en 1794, il avait déporté un certain nombre de prêtres et de moines vers la France. On le qualifiait de " brute sans dieu ni foi ". Il mourut en 1815.
Citation trouvée sur une pancarte à la Cour des Princes de Bruges:
"Le païen Goudeseune et ses consorts seront d’ici peu pendus à l'extérieur des portes."
“Venez prendre un verre
au Café Rose Red”
Café Rose Red | Venez prendre un verre
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